Adoption, le mal des origines

Le Journal des psychologues n°239

Dossier : journal des psychologues n°239

Extrait du dossier : L’originaire au cœur de l’adoption
Date de parution : Juillet - Août 2006
Rubrique dans le JDP : Dossier
Nombre de mots : 3000

Présentation

Un jour surgiront tôt ou tard les questions essentielles de l’enfant à ses parents : « Comment es-tu devenu fils ou fille de ? Et pourquoi m’as-tu adopté ? » Il peut être nécessaire alors de « rejouer » sur une scène thérapeutique nouvelle une forme de régression vers la phase de l’illusion recréatrice.

Mots Clés

Détail de l'article

« Il faut faire parler les silences de l’histoire, ces terribles moments où elle ne dit plus rien et qui  sont  justement  ses instants  les  plus tragiques. » (Michelet.)
S’il est souvent question, en adoption, du passé de l’enfant et de sa famille d’origine, il n’en est pas moins certain que la prévalence d’une réalité historique peut entraîner quelques confusions dans l’établis­sement du lien de filiation adoptif.  Remar­quons que les origines biologiques sont souvent établies lorsque l’enfant n’est plus un bébé chez des adoptants, et, pour autant, elles tendent à s’effacer tout au début de la connaissance de cette nouvelle vie. Pourquoi ?

 

Une idylle recréatrice

Tout se passe comme si l’enfant devait naître psychiquement de ces parents-là.
Il est étonnant d’observer qu’une période d’illusion narcissique s’installe rapidement lorsque l’enfant est préparé à cette rencontre et qu’il a le grand besoin de se faire adopter par une famille. Son appétence est comblée en miroir par la forte attente des adoptants qui ont cheminé vers lui. Tant et si bien que ses origines sont momentanément oubliées…, mais c’est aussi pour ressurgir plus bruyamment après ou à l’orée de l’adolescence.
Nous avons été témoin de nombreuses manifestations chez l’enfant, qui tendent à prouver que le besoin de correspondre au désir de ses nouveaux parents était profondément vital et nécessaire, de sorte qu’une relative amnésie du passé lui était bénéfique durant une assez longue période, laquelle pouvait s’étendre chez certains sur la durée de l’âge de latence.
À défaut de l’installation de cette phase, nous avons rencontré des enfants en grande souffrance, tiraillés entre deux mondes, entre deux vies, entre deux mères… jusqu’à provoquer des douleurs intenses au sein de la parentèle adoptive. L’histoire de Victor, l’enfant qui refusait d’être adopté (Grange D., 1993) a eu le mérite de nous alerter sur les limites de l’adoption tardive, mais surtout de nous montrer combien il était primordial de laisser se développer des régressions et des marques d’attachement auprès des intermédiaires avant que des figures parentales nouvelles pussent être investies.
Ce n’est qu’après, sous l’effet d’un processus d’autonomisation-individuation, que l’enfant souvent devenu préadolescent s’engage dans des questions et/ou des passages à l’acte. La relation parent-enfant peut devenir explosive bien que cette période soit aussi fondamentale que la précédente.

 

Une désillusion structurante

C’est le moment de retrouver enfin l’originaire de chacun et d’élaborer les traces traumatiques qui sont restées en suspension de sens et de symbolisation chez l’enfant comme chez les parents.
Ces parents-là auront à accepter un « inconnu-partiellement-inconnaissable » du côté de leur enfant, tout en tenant compte de l’enfant qu’ils ont été eux- mêmes. Leur passé pourra résonner jusqu’à faire revenir des éprouvés anciens dont ils méconnaissent l’importance…
Au contact de l’enfant, leur propre infantile sera réactivé et parfois mis en demeure d’avoir à s’exprimer, convoqué là où ils ne s’y attendaient pas.
Et c’est à ce prix qu’une reconstruction des toutes premières figures d’attachement pourra advenir chez l’enfant adopté, lesquelles avaient été endommagées du fait d’un vécu précoce d’abandon, de carences ou de séparations itératives.
Une reconstruction de son histoire passée peut s’engager avec les effets qu’elle va produire sur ses nouveaux parents… quitte à les solliciter dans un registre de chaleur émotionnelle et sensorielle, parfois avec une excitation intense alors qu’il aurait pu être saisi d’une précipitation vers le vide et le gel laissé primitivement par des imagos originaires abandonnantes et délaissantes.
Cela est particulièrement important aujourd’hui, en adoption, au moment où les médias ne cessent d’insister sur l’importance de l’histoire et de la parole de l’enfant. Une véritable défense par le discours sur « la réalité historique » peut donner prise à des contre-attitudes parentales, au détriment d’un développement du jeu des représentations de leur enfant imaginé-imaginaire.
La recherche d’une vérité absolue sur l’historicité, la tentative de maîtrise des parents sur leur relation à l’enfant et sur ses origines, le désir de l’y plonger pour qu’il ne les oublie surtout pas…, peuvent produire paradoxalement un réflexe défensif chez l’enfant à leur égard, voire une isolation des affects et un repli narcissique, quand ce n’est pas, à l’adolescence, une fuite vers l’extérieur et même vers la rue, à la recherche de sa propre vérité.
L’importance accordée au « biologique » aujourd’hui provoque des requêtes parfois difficiles à dépasser du côté de l’enfant adopté, envahi qu’il peut être par les stimulations de son entourage à vouloir vérifier la certitude de paternité ou la réalité de « vrais » parents, comme si tout se réduisait à la primauté du sang… à défaut de psyché.
Cette influence tend à se développer tout autour de lui, en raison de l’expansion d’une idéologie de la transparence des événements, qui supplante voire élimine la réalité fantasmatique.

 

La réalité, épreuve de vérité

Dans un article du Journal des psychologues, le docteur Janine Noël (1994) insistait sur « la spécificité de la parenté et de la filiation comme relevant de phénomènes purement humains donc psychiques, des données de la culture et non de la nature, quand on sait que certaines cultures négligent la nature dans leur définition de la filiation ». Elle rappelait les travaux de J. Guyotat (1980) sur la filiation qui s’établit selon trois axes : juridique, biologique et affectif ou narcissique. L’un faisant défaut, deux autres suffisent à assurer la continuité du processus de filiation, comme en adoption où seuls l’affectif et le juridique suffiront pour qu’advienne une parenté.
Les moments de vérité se vivront essentiellement autour du drame œdipien, que l’enfant ait été procréé ou non. « On sait que la fantaisie du roman familial par lequel tout enfant s’imagine avoir été adopté, séparé de ses vrais parents idéaux, est l’un des modes par quoi il cherche à échapper à la haine qu’il porte aussi à ses parents et au risque de la retaliation. »
Tant et si bien que l’enfant adopté pourra alimenter directement cette fantaisie autant qu’il le veut, puisqu’elle lui sera déjà donnée d’avance… apportée par le dossier, le droit à la connaissance de son histoire, les événements qui s’y rattachent et maintenant la lettre cachetée…
Les origines biologiques entrant en concordance/résonance avec les parents idéaux venus d’ailleurs du roman familial, nous entrevoyons les déclinaisons infinies de cette mélodie des origines passant du mal nostalgique au mal dépressif, voire mélancolique… avant qu’il ne parvienne à entrevoir les origines de sa famille adoptive !
Un jour surgiront tôt ou tard les questions essentielles de l’enfant à ses parents : « Comment es-tu devenu fils ou fille de ? Et pourquoi m’as-tu adopté ? »
Questions qui resteront la préoccupation de l’adopté devenant adulte… face aux adultes qui l’entourent…, mais encore faudra-t-il les décrypter.
Nous allons voir que dans certains cas où le jeu des rencontres est laissé au hasard sans qu’aucun intermédiaire qualifié n’intervienne où, de façon trop administrative, dès le début de la mise en relation entre parents et enfant, tout est à « rejouer »… sur une scène thérapeutique nouvelle, telle que la thérapie familiale psychanalytique l’autorise, afin qu’émerge une forme de régression vers cette phase de l’illusion recréatrice.

 

Nouvelles confrontations

Cette capacité de l’enfant de rencontrer de nouvelles racines, malgré des carences ou des traumatismes qu’il aurait pu supporter, fait souvent très peur, à tel point qu’on préfère se dire qu’il ne pourra pas surmonter la séparation (Ozoux-Teffaine O., 1987).
Dans un article « Séparation insolite en adoption tardive (1) », nous avons développé les particularités de l’angoisse de séparation chez l’enfant, qui pouvaient être réactivées par l’environnement… comme si nous ne pouvions jamais imaginer notre propre séparation d’avec notre propre passé.
Aussi s’organisent bien des résistances au changement, afin de maintenir les choses en l’état, quitte à favoriser le passage en adoption sans modification particulière, dans la même famille.
Et, pour autant, c’est avec une certaine naïveté qu’il est plus facile d’imaginer extraire un enfant d’ailleurs, de l’étranger, de l’étranger à soi-même, et de le rapporter sous l’effet de l’urgence, en raison de lourdes réalités, mais en dépit des précautions qui doivent pourtant entourer toute transplantation du vivant !
Si toutes les adoptions font l’objet d’un contrôle de légalité, peu sont entourées de préparation du côté de l’enfant comme du côté des parents.
Pavel (quinze ans) est arrivé en France à l’âge de six ans, il avait été proposé à l’adoption en Ukraine à des parents qui étaient recommandés par un organisme agréé pour le recevoir. Ils se sont rencontrés pour la première fois à l’orphelinat, quelques années après le décès accidentel de sa mère biologique, son père ayant été porté disparu bien avant, relevant d’un état d’alcoolisation aigu. Dans les premiers moments de l’adoption, rien ne paraît inquiéter sa famille bien qu’une certaine indifférence affective et l’évitement d’une régression auraient dû rester préoccupants. Mais l’entrée à l’école fait l’objet d’un intérêt particulier des parents parce qu’il ne fallait pas perdre de temps. De fait, l’enfant va s’adapter à ce cadre nouveau au point que, adolescent, il devient responsable du groupe scolaire devant des camarades dont il épouse rapidement la cause lorsque ceux-ci se pensent des victimes. En même temps se développe une relation parentale dominée par des soucis éducatifs et l’apprentissage scolaire. Or, des vols à la maison comme des avertissements de l’école pour des comportements agressifs, une capacité de cliver les relations et d’en jouer, vont irriter son père qui en viendra aux punitions et aux châtiments corporels.
Un placement de l’adolescent est prononcé et sa réalité passée reprend entièrement le devant de la scène…
 

 

Réalité enfouie, réalité manquante

En séance de thérapie familiale psychanalytique, Pavel développera un roman sur ses origines, car il « se souvient » d’une vie fort investie là-bas avec un petit frère d’orphelinat qu’il a laissé en partant. Il montrera un attachement à des traces mnésiques reconstruites dans l’après-coup. Il peut être alors le héros d’un groupe d’appartenance, constitué par des pairs, frères d’un « passé composé »… d’une vie collective et de liens privilégiés à la mère biologique décédée et à un père disparu qui devient le « vrai père ». Dans cet espace intérieur à lui-même, il est persuadé que ses parents adoptifs l’ont acheté, ce qui rejoint l’imagerie populaire colportée par son environnement scolaire, mais surtout il n’a plus rien à faire avec eux, puisque seule doit dominer sa réalité passée au risque d’annuler sa filiation légitime. « Je n’ai rien à voir avec ces gens-là bien que j’attends tout d’eux en profitant de leur famille et de leurs ressources. » Sur les adoptants qui s’y prêtent se projettent des imagos maléfiques que les mauvais traitements ont réactivées comme si elles avaient été convoquées là irrémédiablement.  
C. Janin (2005), dans ses travaux sur le traumatisme, montre que « la mère défaillante peut être une construction psychique après coup, effet d’une projection sur l’objet de la culpabilité surmoïque précoce (chez l’enfant), projetée sur l’objet, de l’avoir soi-même absenté ».
Ainsi, les rapports qu’entretient Pavel avec sa réalité passée sont tout à fait liés aux « traces amnésiques », lesquelles ne peuvent émerger que dans leur versant négatif. La confrontation physique avec le père en marquait la présence, mais elle n’a été entendue que dans le champ social et éducatif, renvoyant les partenaires à la culpabilisation, ce que l’enfant appelle… depuis son origine. Pour C. Janin : « Le traumatique est du côté du négatif en ce qu’il vient, dans la rupture des liaisons entre processus primaires et secondaires qu’il génère, attaquer le sentiment de continuité et de permanence du Moi. »
C’est donc la réalité manquante qui fait trauma et non la réalité enfouie qu’il suffirait d’extirper, au gré des séances. Et, pour l’atteindre, il nous faudra en passer par le détour obligé des éprouvés contre-transférentiels intenses au contact de cette famille, laquelle évite depuis si longtemps le registre régressif. En séance, l’émotionnel et le sensoriel nous submergent en permanence, comme pour colmater les brèches du tissu relationnel endommagé et masquer l’accès aux représentations de choses et aux représentations de mots. Mais la séance, dans sa capacité regrediante, nous autorise à percevoir l’ébauche d’une figuration du lien de filiation dans son versant négatif, véritable dénégation de la filiation que la conscience ne peut supporter.
Le lien de filiation reste endommagé par la perte de l’objet primaire (ici l’objet maternel mort) et seule domine la reviviscence dans la séance de ce négatif… trou, béance qui vient en place d’un accordage parents-enfants, au risque de voir émerger la haine, autre face de l’amour, très souvent invoquée en adoption. Or, le passé des adoptants porte en lui-même des traces traumatiques, et c’est le cas de la lignée paternelle de Pavel. Son père adoptif a laissé de côté volontairement et depuis longtemps son propre père, car il ne s’est jamais senti soutenu par lui. La rupture père-fils n’a pu s’élaborer, le lien transgénérationnel paternel est lui-même endommagé. Il ne pouvait y avoir qu’un retour brutal vers le passé biologique de l’enfant, en raison de cette discontinuité, donc de la fragilité préalable du lien filial transgénérationnel.
 

 

Réalité masquée, réalité agie

Démasquant le visage de la haine, le thérapeute aurait alors la tâche impossible de soutenir la contenance familiale mise à mal par la reviviscence des passions parentales exercées sur l’enfant, d’une part, mais aussi des effets sidérants de la désertification psychique des enfants, d’autre part.
Ces effets sidérants du traumatisme chez l’enfant peuvent rencontrer aussitôt, sous l’influence de la transmission générationnelle, des traces refoulées, voire enkystées, d’une gélification psychique chez les parents.
Une autre thérapie familiale psychanalytique a permis de reconnaître ce mouvement brutal qui émerge parfois en adoption, lorsque l’enfant a supporté des traumatismes spécifiques et qu’il a été arraché d’urgence, quand il est devenu le survivant d’un massacre collectif (Rwanda).
En séance de thérapie familiale psychanalytique (2), « la scène est violente à la mesure sans doute de la haine qui s’est propagée... Abel (onze ans) se jette sur son père et agit contre lui une sorte d’étranglement, puis il lui décoche des coups multiples : coups de poings, de pieds… Le père se protège physiquement en essayant de contrôler et de maintenir son fils, mais il se défend psychiquement par la dérision en riant de son état de colère qu’il peut en fait redouter… » La règle de l’interdit du toucher a été transgressée. Le thérapeute intervient et dit qu’il voit surtout de la souffrance et même beaucoup de souffrance chez Abel. Il va falloir la contenir et en permettre la transformation en éléments assimilables. « À cet instant émerge la reviviscence d’une fonction tierce assurée par l’intermédiaire en adoption qui pourrait donner du sens à l’éprouvé de séparation, mais qui, à défaut d’avoir pu exister autrefois, ne laisse à l’enfant qu’un profond vécu d’arrachage. » Seule l’analyse du contre-transfert des thérapeutes pourra guider le processus en cours de régression vers une étape fondamentale rejouée en séance, à savoir celle de l’illusion recréatrice.
Surgiront alors des manifestations corrélatives des traces traumatiques chez l’enfant, sous forme impérieuse d’avoir à être porté, enveloppé, entouré par le groupe familial que le groupe thérapeutique vient étoffer, véritable appareil psychique groupal relayant la défaillance de l’appareil psychique familial. La parentalité adoptive, mise à mal par l’excès d’excitations qui l’assaille et la culpabilité liée au fantasme de rapt, est demeurée en défaut de représentations structurantes. Précipités qu’ils étaient vers l’urgence à extraire l’enfant, les parents n’ont eu recours pour tenir qu’aux traces mnésiques factuelles, qui leur permettaient aussi de se protéger eux-mêmes de l’incidence de leurs propres histoires.
C’est pourtant à parler d’eux dans leurs rapports avec leur filiation qu’ils sont confrontés : « Comment es-tu devenu fils de ? », telle est la question de l’adolescent en souffrance d’inscription de filiation. Or, des mécanismes de défense sont convoqués pour la masquer, tels que l’agir ou l’explosion haineuse. Nous pourrions avancer que l’amour adressé à l’enfant adopté engage un sentiment si possessif qu’il aurait un impact assez traumatique par un renversement en son contraire. À l’adolescence tout particulièrement, le « Pourquoi m’as-tu adopté ? » ressurgit comme une question laissée en suspens depuis la première rencontre… pour finir par devenir plus tard, avec la levée du refoulement, celle qui anime la quête des origines.
Dès lors, il conviendra de ne pas s’égarer sur la seule étiologie événementielle de l’enfant, mais de retenir la manière dont s’articulent les réalités psychiques de chaque partenaire de la scène adoptive : parents-enfants.
Déjà en 1945, H. Deutsch disait que « la cause première des réactions psychologiques de l’enfant adopté ne réside pas tant dans les circonstances de sa naissance que dans les conséquences de ce fait réel sur l’entourage, en particulier chez la mère adoptive ». Plus tard en 1954, D. W. Winnicott affirmait que « les enfants ont davantage besoin de leurs parents que d’être aimés ; ils ont besoin de quelque chose qui subsiste lorsqu’ils sont détestés, et même détestables ».
Aujourd’hui, avec des voix plurielles (3), nous avons montré combien les enjeux de l’adoption tardive pouvaient nous obliger à reconsidérer de nouveaux fondements pour la clinique… Clinique de la filiation adoptive certes, mais aussi procréative, au moment où le roc du biologique pourrait l’emporter sur la force des racines psychiques. D’ailleurs, qu’il soit procréé ou adopté, le destin de l’homme confronté aux origines n’a-t-il pas toujours été revitalisé par une reconstruction de son patrimoine, non pas génétique mais essentiellement historique, reconstruction toujours inachevée ? ■

 

Notes
1. Ozoux-Teffaine O., 1988,  « Séparation insolite en adoption tardive », in Le Journal des Psychologues, n° 61.
2. Baron-Preter B., Ozoux-Teffaine O., 2006, L’adoption au risque de la haine, colloque de la STFPIF de janvier 2006, à paraître in Le divan famililal chez In Press.
3. Ozoux-Teffaine O. (sous la direction de), 2004, Enjeux de l’adoption tardive, nouveaux fondements pour la clinique, Érès.

Pour citer cet article

Ozoux-Teffaine Ombline  ‘‘Adoption, le mal des origines ‘‘
URL de cet article : https://www.jdpsychologues.fr/article/adoption-le-mal-des-origines

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