Dossier : journal des psychologues n°411
Auteur(s) : Verdon Benoît
Présentation
Peut-on choisir de vieillir quand ce qui s’annonce semble marqué par le déclin, la perte, la mort ? Ce choix de vieillir engage alors notre capacité d’admettre que l’on ne peut pas tout maîtriser, que l’on n’est ni tout-puissant ni immortel mais sans pour autant basculer dans la conviction que la vie ne vaut plus la peine d’être vécue. Quels sont alors les facteurs qui nous guident dans ce « choix » paradoxal, qui n’en est pas tout à fait un et qui, pourtant, nous permet de demeurer vivants ?