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Ne trouble pas mon sommeil, Lucas Cranach

Auteur(s) : De Azambuja Miguel

Michel Leiris lui donne une place importante dans son œuvre et affirme même que L’Âge d’homme lui doit son armature. Henry Miller le cite dans ses récits érotiques, Julio Cortázar nous parle en Marelle de « l’arrivée d’une vieille dame avec un chapeau extraordinaire, comme dans un tableau de Cranach ». Mario Benedetti, l’écrivain uruguayen, évoque une ville « où les yeux des putes sont tendres, comme la Vénus de Lucas Cranach (1) ».


De Sigmund Freud à Jacqueline de Romilly : la Grèce qui vit en nous

Auteur(s) : Alcalay Jean-Marc

L’académicienne Jacqueline de Romilly, spécialiste de la civilisation et de la langue grecques, nous a quittés en décembre dernier. Toute sa vie, elle aura combattu pour renforcer la place de la culture helléniste dans l’enseignement. Une culture qui, dans notre profession, a toute sa place. Pour preuve, le vocabulaire ou les références récurrentes aux mythes et à la littérature de la péninsule. Ne citons qu’un seul exemple, celui de Sigmund Freud.


Volontariat de solidarité internationale

Auteur(s) : Willaume Pierre

Le volontariat de solidarité internationale expose l’individu à des situations multiculturelles complexes, susceptibles d’entraîner un choc culturel, un bouleversement de ses repères, une prise de recul vis-à-vis de sa culture et d’aboutir, de fait, à l’élaboration d’une nouvelle identité « interculturelle ». Ce processus d’autoformation par l’expérience et l’environnement serait par extension à l’origine de la notion de citoyen planétaire.


La clinique incarnée de Paul

Au sein d’un institut psychothérapique, des entretiens s’engagent entre Paul et sa psychothérapeute. Il présente des symptômes d’ordre psychotique, notamment dans son rapport au corporel. Malgré ses difficultés au niveau de la pensée, Paul tente de construire son roman familial. La mise en mots, la possibilité d’élaborer des représentations et, enfin, de réaménager fantasmatiquement ses liens parentaux permet à ce patient de mettre progressivement du sens là où seule l’angoisse envahissait son espace mental.


La médiation équine comme outil thérapeutique

Auteur(s) : Ansorge Jessie

En quoi un cheval peut-il participer au traitement d’un patient ? Comment la présence de cet animal peut-elle permettre une évolution positive des troubles physiques et-ou psychiques d’un adulte ou d’un enfant ? Quels sont les principes de la médiation équine ? Quels en sont les intérêts et les limites ? Quel est le cadre juridique de cette prise en charge d’un type particulier ? C’est à ces questions que l’auteur apporte des réponses.


Le vieillissement entre risque et désir, Harold et Maude : une image de résilience ?

Certains chercheurs en psychogériatrie étudient la possible relation entre les événements de la vie, les traumatismes et les démences. La résilience peut se définir comme le processus permettant de surmonter un événement traumatique. Qu’en est-il de la résilience chez la personne âgée et, par extension, peut-on la considérer comme un moyen de lutter contre l’apparition de démences ?


Neurosciences sociales et relations interpersonnelles

Les neurosciences sociales, approche interdisciplinaire visant à comprendre les mécanismes biologiques sous-tendant les relations interpersonnelles entre individus, soutiennent la compréhension de l’esprit humain et des comportements sociaux. Pionnier de la discipline, Jean Decety évoque ici ses travaux, notamment ceux sur l’empathie. Utilisant la perception de la douleur chez autrui, ces derniers montrent que la détection de la détresse chez un autre est associée à une réponse neuronale variable selon les facteurs sociaux et le contexte.


Empathie et psychose

Auteur(s) : Toliou Anastasia

Si la littérature souligne l’importance de l’identification du soignant au soigné et la valeur du contre-transfert dans tout processus de soins, qu’en est-il dans le cas de patients psychotiques ? Et comment penser alors l’empathie ? L’étude de cas cliniques montre que, dans un groupe analytique de psychotiques, l’empathie éprouvée par le thérapeute et les patients vient favoriser l’action thérapeutique. L’accompagnement de cette population présuppose-t-il déjà l’attitude empathique du soignant à l’égard de lui-même ?


Empathie, handicap et altérité

Dans toute relation de soin, l’empathie est importante, mais elle est particulièrement fondamentale avec un patient en situation de handicap. Mais, si l’empathie suppose d’être à l’écoute de l’autre et de ce que l’autre provoque chez soi, elle peut pourtant s’avérer, dans ce cadre, plus difficile pour le soignant que dans aucun autre, en ce qu’elle renvoie notamment à des identifications parfois déshumanisantes, à la vulnérabilité humaine.


Le sonore et l’écoute empathique groupale

Auteur(s) : Lecourt Édith

Pour écouter et, mieux, entendre son interlocuteur, il faut se trouver dans une disposition particulière. Au sein d’un groupe thérapeutique, si les membres sont dans une attitude empathique les uns par rapport aux autres, cette écoute empathique groupale leur permet alors d’exprimer et de mettre en forme leur vécu subjectif. Comment définir, identifier et favoriser l’advenue de ce processus bénéfique ?


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