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Catastrophe en Haïti : soutenir les équipes

Auteur(s) : Cruz Thierry

Après le tremblement de terre qui a décimé la population de Port-au-Prince, en janvier dernier, la solidarité internationale s’est mise en branle et des équipes de secouristes ont été dépêchées sur place pour venir en aide aux sinistrés. Bien que préparées et formées à ces interventions spécifiques, la réalité du terrain a confronté certains de leurs membres à des débordements émotionnels, des conflits psychiques, et ont nécessité d’être eux-mêmes soutenues psychologiquement.


La nouvelle communication ou le théâtre de l’information organisée

Auteur(s) : Lemoine Claude

Il faut communiquer. Telle est la devise dans une société qui veut se montrer peuple, en fait people, et fournir de l’information calibrée, travaillée, polie. Mais il ne s’agit pas de communication qui suppose une interactivité, un aller-retour et donc une parole remontante, mais d’information qui, unilatéralement, vise à convaincre ou à instiller une représentation évidente, commune, non critiquable.


À la mémoire de Françoise Juranville

Auteur(s) : Tapia Claude

Françoise Juranville nous a quittés quelques jours après nous avoir remis son article « Lapsus et actes manqués : un nouveau regard après Freud » qui est paru dans le précédent numéro du Journal.


Responsabilité pénale et troubles mentaux : des propositions du Sénat

Quel que soit le champ dans lequel on est amené à intervenir, ou quels que soient le lieu ou le domaine d’exercice des professionnels que l’on rencontre, le constat est le même : une -inquiétude sourde concernant les conditions de travail à venir, mais surtout la tendance, semble-t-il irrévocable, à voir se vider les missions de leur sens -, et ce, si ce n’est dans les discours, du moins dans les exigences et infléchissements du qualitatif au quantitatif.


Faut-il brûler Michel Onfray ?

Certes pas, la retaliation n’est pas de mise en psychanalyse.


Lapsus et actes manqués : un nouveau regard après Freud

Méprises, maladresses, égarements d’objets, oublis divers, mais aussi lapsus, erreurs d’audition ou de lecture et, en fait, bien d’autres menus ratés de la parole ou de l’action… Comment aborder, après Freud, le monde touffu des actes manqués ? Que retenir parmi ceux-ci ? Quel cheminement adopter ? Une fois de tels repères pris, c’est à une exploration de cette jungle qu’invitent Les Caprices de l’inconscient (1). Au gré de ce que révèlent nombre de cas, Françoise Juranville amène à considérer autrement ce qui se joue de fondamental, dans ces petits actes vertigineux. Voici le cœur de ces enjeux.


Se préoccuper

Auteur(s) : Gutton Philippe

La loi du 5 mars 2007 semble avoir permis de mieux différencier la voie judiciaire de celle du conseil général qui se préoccupe du développement psychique de l’enfant dans son environnement. Dans ce cadre, c’est à une réflexion sur le signalement en tant qu’acte institutionnel et à la nécessité d’un travail en concertation pluridisciplinaire que nous convie cet écrit.


Les enfants face à la séparation : une affaire de reconstruction

Auteur(s) : Euillet Séverine

Pour protéger un enfant en danger, une mesure de placement en foyer ou en famille d’accueil s’avère parfois nécessaire. Si, dans l’intérêt de l’enfant, cette décision doit se prendre, le vécu de cette séparation par l’enfant sera un élément important de la réflexion. Il sera, par ailleurs, nécessaire de lui donner du sens pour que cette séparation physique puisse tenir compte des besoins de l’enfant pendant l’accueil et amorcer un travail de restauration psychique.


Violence d’État… et développement de l’enfant

Auteur(s) : G. Raymond Serge

Cet article riche de réflexions pose la question de la confusion au sens le plus large : les violences hexagonales que subissent autant les enfants que les professionnels paraissent correspondre à une authentique violence d’État. Les voies du signalement ne sont-elles parfois pas plus handicapantes que les faits en cause ?


Turner, de l’admiration au meurtre

Auteur(s) : Houssier Florian

Turner (1775-1851) est aujourd’hui considéré comme le plus grand peintre paysagiste anglais. Bien avant la fameuse apostrophe : « Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? », il déclarait : « Oui, mon style, c’est l’atmosphère. » Cependant, ce révolutionnaire est aussi bien un héritier, un continuateur et un compagnon de route. La profonde singularité de son œuvre s’est, en effet, constamment nourrie du dialogue avec les autres peintres, tant les maîtres anciens que ses contemporains.


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