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La délinquance des adolescentes : une violence de genre ?

Auteur(s) : Moyano Olivier

Pendant longtemps, le phénomène de la délinquance des filles n’a pas été pris en compte. Or, il apparaît que le nombre de filles commettant des délits a eu tendance à augmenter au cours des dernières années. D’un point de vue psychopathologique, qu’est-ce qui fait la spécificité de l’acte délinquant au féminin ?


Corps d’enfants et dons d’organes. Polytrauma… corps effractés, corps violentés

Auteur(s) : Coq Jean-Michel

Le décès brutal d’un enfant confronte parfois les parents à une décision tragique, celle d’accepter ou non un prélèvement d’organe consécutif à un état de mort encéphalique. Les familles endeuillées sont souvent seules avec leurs interrogations. Comment les parents parviennent-ils à se déterminer ?


Errances et amarrages

Auteur(s) : Pitici Colette

Chez les populations errantes ou gravement précaires, il existe une modalité de relation particulière à l’objet actuel – « relation d’amarrage » – qui révèle les empiètements (par forçage ou insuffisance) de l’objet précoce ou encore de la dépendance. À l’appui des histoires de Boris et Amina, la question de l’errance est également mise en lien avec les problématiques liées au traumatisme ou aux conduites addictives.


Les préadolescents et les adolescents sans limites et l’institution

Auteur(s) : Pinel Jean-Pierre

Les adolescents violents sans limites se confrontent sans cesse à l’autre, jusqu’à l’exclusion, par des agirs dont le pouvoir destructeur est également sans limites. Leurs souffrances psychiques résultent d’une défaillance de la subjectivation et de la symbolisation, d’un raté de l’intériorisation des limites qui obligent à repenser en profondeur la clinique institutionnelle.


Violence et passage à l’acte

La violence est toujours celle de l’autre ; elle n’est pas une, elle est multiple. L’auteur nous invite à une lecture clinique de la violence adolescente à travers la présentation des quatre figures paradigmatiques de l’agir violent que sont la mise en acte, l’acting out, le passage à l’acte et le recours à l’acte.


Pratique sectaire et dérive de psychothérapies. Le phénomène des faux souvenirs

Auteur(s) : Guérard Delphine

La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, dans son rapport 2007, attire l’attention sur le fait que des professionnels, sous couvert de leur exercice en tant que psychothérapeutes, mettent en place une relation thérapeutique basée sur la création de faux souvenirs, apanage de la manipulation mentale propre au fonctionnement sectaire.


Les relations des sujets body art avec leur propre corps

Auteur(s) : Verneuil Valérie

Quel est le but visé par le sujet body art à travers les transformations, la souffrance et les limites qu’il impose à son propre corps ? C’est à une réflexion sur le passage à l’acte artistique, le rapport de l’artiste à son propre corps, son positionnement par rapport à soi, à l’autre, à l’étranger, ou encore sur la souffrance comme acte de création, à laquelle nous sommes ici conviés.

« Je suis ce que je parais et je ne parais pas ce que je suis. Je suis pour moi-même une énigme inexplicable !
Je suis en lutte avec mon moi !
 (1) »


La préoccupation paternelle… primaire du père suffisamment bon

Auteur(s) : Reuillard Pascal

Si le père n’a pas les moyens de vivre la grossesse dans son corps, rien ne laisse supposer qu’il ne puisse faire l’expérience de la grossesse psychique. La place du père et la fonction paternelle ont subi des transformations, parfois radicales, au cours de l’existence. Mais cet homme est-il capable de vivre l’équivalent masculin de la préoccupation maternelle primaire dont parle D. W. Winnicott ?


Identités, représentations sociales et mémoire collective

Anne-Marie Costalat-Founeau s’est efforcée de démêler, au cours de ce débat, la complexité des mécanismes qui interviennent dans la construction de l’identité individuelle ou collective, concept qui a fait l’objet de nombreux travaux depuis une quarantaine d’années. Ce faisant, elle a progressivement dégagé sa propre conception de l’identité au sein de laquelle la notion de « capacité d’action » joue un rôle essentiel.


La reconnaissance de la douleur physique de l’autre socialise-t-elle ?

La capacité d’empathie est-elle consubstantielle à l’espèce humaine ou cette disposition fondamentale à la socialisation peut-elle s’émousser jusqu’à disparaître ? À partir d’une expérience en milieu carcéral auprès de jeunes délinquants violents, les auteurs ont mis à l’épreuve leur hypothèse selon laquelle ceux-ci souffriraient d’un défaut de capacité d’empathie.


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