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Traumatismes et terrorisme. Quelle prise en charge pour les enfants ?

Depuis 2014, l’Association française des victimes du terrorisme propose des séjours thérapeutiques à l’attention de victimes – adolescents et adultes –, ayant été impactées par un acte de terrorisme et ayant développé un syndrome psychotraumatique. Mais les attentats de Nice, le 14 juillet 2016, ont conduit à étendre ce dispositif pour des enfants âgés de six à douze ans. Présentation du Projet Mimosa.


Le Centre Pierre‑Janet, un nouveau lieu dédié à la recherche et à la formation

Auteur(s) : Castro Dana

En octobre 2015, Cyril Tarquinio, professeur de psychologie de la santé et de psychologie clinique, a créé le Centre Pierre-Janet, au sein de l’université de Lorraine. Nous l’avons questionné sur ce lieu novateur qui entend combiner formation, consultation et recherche en psychologie, en prônant l’ouverture sur toutes les approches susceptibles d’améliorer la prise en charge psychothérapeutique.


Évaluation scolaire et psychologique : quels liens avec l’orientation ?

L’examen psychologique de l’adolescent en vue d’une orientation est souvent l’occasion de réaliser un pronostic de ses performances futures dans différents champs d’étude. Mais les tests psychométriques constituent-ils de bons prédicteurs des résultats scolaires ? À partir d’une revue de la littérature et la présentation de trois situations cliniques de lycéens venus consulter pour définir ou affiner leur projet d’orientation, les auteurs nous invitent à observer les congruences qui apparaissent entre leurs résultats obtenus au WISC-IV et leurs résultats scolaires constatés par la suite.


L’évaluation psychologique en contexte judiciaire : déni ou soutien de la subjectivité ?

Auteur(s) : Roman Pascal

Parmi les pratiques d’évaluation dans lesquelles se trouvent engagés les psychologues, le champ de l’expertise judiciaire occupe une place à part. Face aux enjeux de pouvoir inhérents à cette pratique et aux risques d’instrumentalisation qui la sous-tendent, comment une expertise psychologique judiciaire peut-elle contribuer au soutien de la subjectivité du sujet de l’expertise ? Une prise de position clinique, technique ainsi qu’éthique et politique de la part du psychologue est un prérequis nécessaire.


Comment repérer et évaluer ce qui est difficilement évaluable ? L’exemple de la fatigue

La fatigue est un phénomène complexe, multidimensionnel. S’il s’agit la plupart du temps d’une plainte commune qui peut être résolue par le repos, il existe également une fatigue dite « chronique », difficile à décrire et à évaluer, parfois encore méconnue des soignants et dont le diagnostic ou le traitement peuvent être sujets à controverses. Les outils classiques d’évaluation et leur utilisation sont-ils adaptés dans le cadre du syndrome de fatigue chronique ? Des pistes complémentaires peuvent-elles être envisagées ?


Un dispositif spécifique d’évaluation : le cadre de la protection judiciaire

Auteur(s) : Govindama Yolande

À travers le cas clinique déroulé ici au fil des pages, Yolande Govindama témoigne de la nécessité de penser un dispositif adapté au cadre de la protection de l’enfance qui tienne compte des effets de la contrainte judiciaire sur l’évaluation, le diagnostic et l’accompagnement thérapeutique. Démonstration.


Le compte-rendu, une démarche de coconstruction en partenariat avec les enfants et leurs parents

Si le compte-rendu constitue une étape cruciale et déterminante de l’évaluation psychologique, lorsque la personne adressée est un enfant, un processus de réflexion commune et de coconstruction avec l’enfant et ses parents doit être instauré dès l’amorce de l’évaluation pour permettre une meilleure appropriation des observations et des résultats qui leur seront livrés. Des vignettes cliniques viennent ici illustrer l’intérêt d’une telle démarche, notamment avec des enfants souffrant de difficultés développementales.


De la psychométrie à la psychologie, la norme existe-t-elle ?

Il apparaît aujourd’hui naturel que l’évaluation psychologique repose sur l’utilisation d’outils psychométriques impliquant de comparer les performances d’un sujet à celles d’un échantillon de référence. Si cette démarche semble être la plus objective, les auteurs invitent néanmoins à considérer avec mesure les représentations d’une « norme idéale » et rappellent l’importance d’une lecture critique de ces résultats de la part des utilisateurs.


Le psychologue, la faute et l’erreur. Des difficultés de rédaction du rapport d’évaluation psychologique

Auteur(s) : Fontan Patrick

Il est difficile de composer avec la possibilité d’une erreur lors de la rédaction du rapport d’évaluation. Et quand bien même certains mécanismes de production du compte‑rendu permettent de neutraliser les effets délétères des incertitudes, ils risquent néanmoins de mettre en péril l’activité de jugement clinique qui fonde la raison d’être de l’examen. Engager une réflexion sur ces mécanismes permet de s’en prémunir.


Quelques repères à propos de l’évaluation psychologique : évaluation psychologique, examen psychologique et psychodiagnostic

Auteur(s) : Andronikof Anne

Comment un psychologue peut‑il procéder à une évaluation sans tomber dans les chausse-trappes que sont le risque d’instrumentation ou encore la visée normalisante ? Si le Code de déontologie des psychologues offre des indications précieuses sur cette démarche d’évaluation consentie par le patient, l’auteur suggère également de distinguer les notions d’évaluation et d’examen proprement dit, et de rendre au psychodiagnostic toute son originalité et sa pertinence.


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