Une étude publiée en Avril 2016 menée par une équipe INSERM du CHU de Créteil révèle qu’un tiers des étudiants en médecine a recours à des produits voués à améliorer leurs performances cognitives, qu’il s’agisse de produits en vente libre (29,7% des sondés), sur ordonnance (6,7%) ou de drogues illicites (5,2%).