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La dynamique suscitée par le projet politique d’une « société inclusive », qui prône l’idéal d’un lien plus inclusif permettant aux personnes vulnérables d’accéder aux services proposés dans le milieu ordinaire, appelle aujourd’hui une rénovation des pratiques des professionnels dans le champ du social et du médico-social. Mais comment faire dialoguer ce nouveau paradigme sociétal avec les sciences humaines et sociales, surtout quand l’ambition inclusive n’est pas abordée sous l’angle de ce qui fait le moteur de la subjectivation : l’exclusion ? Un paradoxe à travailler si l’on souhaite que ce projet de société ne s’essouffle pas de lui-même.

Cadet Florent  ‘‘Pouvoir d’agir et subjectivation : questions actuelles pour les psychologues et les professionnels exerçant en institution‘‘