Les deux ouvrages évoqués traduisent une même philosophie et une même conception des rapports humains. À partir des travaux de Boris Cyrulnik sur la résilience et de références au principe dialogique d’Edgar Morin, l’analyse des récits de vie ouvre à la formulation de l’hypothèse d’une forme singulière de résilience : l’antirésilience. Le propos s’élargit à la discussion d’une fonctionnalité de la vie nocturne, d’une finalité autoformatrice des vagabondages et divagations auxquels elle donne lieu, peut-être encore d’une mise en sens d’un travail inconscient.
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