Les problèmes liés à un vécu d’acculturation, qui semblent se retrouver à la fois chez les populations de migrants et chez les autochtones, peuvent entraîner le risque de voir l’enfant investi comme objet de jouissance. Une piste d’intervention est proposée ici à travers la mise en place d’un dispositif singulier qui introduit la question de la culture au cœur même de la relation thérapeutique et qui vise, à travers un accompagnement fondé sur une alliance entre un travailleur social et un thérapeute, à permettre l’élaboration de l’angoisse de castration et de ses corollaires.
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