Les mères incarcérées ayant l’autorité parentale peuvent garder leur enfant de moins de dix-huit mois auprès d’elles. Cette disposition légale a impulsé la création de « nurserie » au sein des établissements pénitentiaires et suscité de nombreux questionnements quant aux conséquences pour l’enfant. Mais qu’en est-il de ces mères ? De leur ressenti, de leur condition d’incarcération ? Si ce dispositif a une influence positive sur leur quotidien carcéral, la place de l’enfant ne peut se réduire à celle d’« enfant-objet ».
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