Si coopérer n’est pas donné de soi, cela tient en partie à notre propension à vouloir jouir solitairement d’un travail bien accompli. Or, coopérer apporte un plus de jouissance, à condition qu’un plaisir partagé soit accessible, sans ignorer les dimensions pulsionnelles et les zones d’ombre en chacun de nous. Coopération et travail d’équipe peuvent ainsi participer à l’ancrage d’un narcissisme bienfaiteur, à une jouissance humanisante et socialisante.
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