De nos jours, il est de plus en plus fréquent qu’on nous conseille de « prendre le temps », de « ralentir le rythme » de nos vies survoltées. Mais, dans le travail psychanalytique, est-ce souhaitable ? On plaide ici, au contraire, pour le choix d’une certaine hâte, non dans le sens de la précipitation, mais comme un rythme permettant d’aller à l’essentiel, et aussi de reconnaître notre finitude.
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