L’auteure aborde la question du deuil, sous l’angle particulier du défunt « caché » et néanmoins encore présent, à bas bruit, dans le vécu familial. Dès lors, quelle posture adopter pour le thérapeute quand, dans le cadre d’une consultation, cette omniprésence s’exprime de manière diffuse ? Se pourrait-il qu’un travail de reconnaissance de l’existence de ce « tiers pesant » aide à débloquer un processus de deuil jusqu’alors non accompli ? Le cas clinique d’Azad et de Fariba vient illustrer le propos.
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