Clinique

Dans la rubrique : Article

Favoriser, dans un dispositif spécifique, l’émergence et le développement de la créativité, sans autre visée que celle‑ci, se révèle être, à l’hôpital, une vraie proposition thérapeutique. Le corps objet de soin redevient sujet, s’émancipant de la centration sur la maladie. Une parole neuve en émerge, inouïe, qui donne vie. Démonstration.

Dans la rubrique : Article

L’écrit est un acte clinique essentiel dans notre profession. Dans le domaine de la justice, le psychologue reste le discutant du sens et pose clairement les questions auxquelles ni la technique de l’expertise – ou de l’attestation, ou du signalement –, ni les conditions de production de l’écrit, ni l’attitude du sujet lui-même ne permettent de répondre.

Dans la rubrique : Article

L’éthique des psychologues et des psychanalystes se rejoint dans la question de l’écriture de la clinique dont les enjeux concernent les cliniciens eux-mêmes, les patients, et leurs divers interlocuteurs – institutions de soins ou sociales, tiers impliqués. Comment écrire, mais aussi lire la clinique ? Cet article nous propose d’y répondre aussi bien sous l’angle de la production que du destin des écrits.

Dans la rubrique : Article

Les patients douloureux chroniques questionnent la pratique. Comment les psychologues cliniciens les écoutent-ils ? Qu’écoutent-ils ? Que font-ils de la dimension de la douleur ? En se fondant sur deux études de cas, les auteures montrent comment l’expression de la douleur physique peut révéler des souffrances psychiques passées. Et comment, à l’inverse, l’écoute du corps, peut bloquer la pensée du patient. Un pari et un parcours surprenants.

Dans la rubrique : Article

Chacun a sa façon de rencontrer la psychologie et de s’y confronter. Celle de Senja Stirn consiste essentiellement à ne pas se satisfaire de l’existant. Elle s’efforce donc de l’améliorer, en opérant une sorte de boucle, passant de la clinique à la recherche, du terrain au laboratoire, et à la théorisation d’une pratique singulière. C’est ce même mouvement que l’on peut observer dans son dernier ouvrage, Évaluation neuropsychologique en clinique adulte.

Dans la rubrique : Article

Dans un contexte de migration ou dans une famille culturellement mixte, la culture vient comme élément supplémentaire, un « plus un » complexifiant les relations, les places et les rôles de chacun. C’est sous l’angle d’une répartition d’appartenance et d’une redistribution des places que sont étudiées ici les relations au sein de la fratrie. Réflexions autour de cette multiculturalité familiale à travers deux exemples cliniques.

Dans la rubrique : Article

La question du cadre se fond dans celle de la relation entre le soignant et le soigné, dans l’exercice clinique. Le cadre peut être protecteur, mais aussi défensif et empêcher le lien. Sa flexibilité dépendra de la solidité de la relation et des possibilités qu’il offrira pour entrer en contact avec l’autre. Dans cet article, l’auteur s’interroge sur deux visions opposées du cadre dans la profession. La première, comme instrument de contrôle du patient. Contraignant et rigide, le cadre est nécessaire à la poursuite du traitement. La seconde, qui est mise en avant par l’auteur, envisage le cadre comme un moyen thérapeutique et non une contrainte. Un cadre flexible, qui appelle à une éthique et qui doit permettre une relation et une réciprocité entre soignant et soigné : le rapport libre d’homme à homme.

Dans la rubrique : Article

L’approche clinique nous conduit à considérer la radicalisation des jeunes comme un nouveau symptôme adolescent, dans un rejet des anciens modes de fonctionnement et d’être au monde. L’enjeu de ce symptôme est de dépasser, éviter ou court-circuiter le travail psychique du pubertaire. Ce texte tentera de décoder ce que recouvre ce processus de radicalisation, d’un point de vue clinique, à travers les enjeux, intra et inter-psychiques qui y sont liés.

Dans la rubrique : Article

À travers son expérience dans la prise en charge de jeunes en milieu carcéral, l’auteur témoigne de la pluralité des parcours dans le processus de radicalisation. L’analyse des mécanismes psychiques à l’œuvre ayant amené certains jeunes dans la voie de la radicalisation, rencontre fortuite entre une personnalité, un contexte socioculturel et un message, apparaît alors comme une des voies possibles de compréhension.

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Dans la rubrique : Dossier

Pourquoi devient-on violent ? Les réponses sont multiples et complexes : pour exister à titre individuel ou groupal ; pour s’opposer à un ordre établi, vécu comme persécuteur ; pour structurer une vie intérieure mise à mal par des blessures narcissiques ; pour l’agir signifiant ce que le dire ne peut élaborer. Parce que la violence fascine et, parfois, devient un objectif identitaire.

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