Dans le cadre de la prise en charge psychologique de personnes détenues en milieu carcéral, certaines d’entre elles reconnaissent l’acte qu’elles ont commis, mais ne parviennent pas à l’inscrire psychiquement dans leur parcours de vie. Il s’agit alors de comprendre dans quelle mesure la reconnaissance d’un traumatisme premier subi peut intervenir dans la compréhension du passage à l’acte violent et constituer, dans un second temps du processus thérapeutique, un préalable nécessaire à l’élaboration psychique liée à la position d’agresseur. Illustration à travers le cas de Monsieur D.
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