Dans le cadre du dossier « La déontologie, la profession et les psychologues » que le Journal des psychologues a publié dans son n° 366 (avril 2019), le groupe inter organisationnel « Construire ensemble la réglementation de la déontologie des psychologues » (Cerédépsy) a présenté sa démarche dans un article intitulé « Déontologie des psychologues : l’union fera la force » (pp.14-20).
Le Cerédépsy a mis en place un processus collectif amorcé par le communiqué du 15 avril 2018.
Dans ce cadre, il a mis en place trois groupes de travail dont le contexte et la définition sont présentés dans l’article cité.
Les trois groupes sont les suivants :
- L’écriture d’un code unique autour de valeurs communes
- Les voies possibles pour un respect de la déontologie
- Les voies actuelles d’inscription de la référence au Code, sa visibilité et sa promotion.
Le troisième groupe a mis en place une enquête correspondant à l’objectif défini : « Une série d’exemples, disséminés et trop peu connus, montrent que le code de déontologie fait l’objet d’une reconnaissance dans une diversité de structures tant privées que publiques où exercent des psychologues. C’est parfois le cas dans des conventions collectives ou dans des contrats de travail spécifiques. »
Il s’agit donc de repérer tous ces lieux où le Code a une existence de fait (ex. inscription dans le contrat de travail, la fiche de poste, la convention collective, affichage dans le cabinet, textes réglementaires, etc.), d’examiner les modalités de cette existence de fait et leurs effets, afin de favoriser cette inscription dans d’autres contextes et d’en consolider la reconnaissance.
Sont donc invités à répondre à ce questionnaire tous les psychologues, groupements de psychologues ou responsables d’institutions, structures ou services où exercent des psychologues, dont le cadre de travail reconnait de façon formalisée l’existence du code de déontologie des psychologues.
Ce questionnaire comprend trois parties :
- la spécification du cadre institutionnel concerné ;
- les modalités d’inscription du code dans le fonctionnement de la structure ;
- les effets constatés de cette reconnaissance.
Les données collectées sont à l’usage exclusif du Cerédépsy et seront stockées sur un serveur dont l’accès est limité. Les informations recueillies feront l’objet d’un traitement informatique sous la responsabilité des co-pilotes du groupe de travail du Cerédépsy : Benoît Schneider et Richard Redondo (cf. courriels dans le document d’enquête).
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