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Lieu d’expression des différents courants d’opinion, Le Journal des psychologues
a ouvert ses pages l’an passé tant aux défenseurs d’un doctorat professionnel qu’aux partisans de ce qu’ils considèrent comme une alternative, la certification Europsy *.
Dans le prolongement de ces réflexions menées sur la nécessité de faire évoluer et revaloriser la profession de psychologue, et notamment le cursus de formation initiale,
cet article propose de jeter un regard sur la manière dont les pays anglo-saxons ont pris le parti de répondre aux besoins de formation hautement qualifiée via les différents
types de doctorat.
Un événement vient de se concrétiser : le processus d’application d’EuroPsy en France est entré dans une phase nouvelle, puisque le Comité français de délivrance de la certification EuroPsy (CoFraDeCEuroPsy) va être « cogéré » par la Fédération française des psychologues et de psychologie (FFPP) et la Société française de psychologie (SFP), cela faisant suite à une phase de concertation de plusieurs mois.
Si chacun s’accorde à dire que la profession de psychologue doit évoluer, notamment dans le cursus de formation initiale, tous ne s’entendent pas sur la manière… Nous nous faisons le lieu d’expression des syndicats, et plus largement des courants d’opinion, des différents points de vue sur cette question qui suscite les passions et les interrogations. À l’instar d’Albert Ciccone et Benoît Schneider qui en avaient débattu dans le numéro de décembre-janvier, le secrétaire général et les membres de la commission Université du SNP ont accepté de se plier à l’exercice. Ils reprennent pour nous les positions du syndicat sur la formation des psychologues et son évolution vers un doctorat, et exposent les déterminants et conditions de sa mise en œuvre.