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Les pathologies du lien et les troubles de la personnalité rencontrés chez certains patients en consultation résulteraient d’une défaillance des processus relationnels primaires et d’un échec dans la résolution des dilemmes de contact précoces. Les auteurs proposent un travail de centration sur ce qui se produit au sein de la relation thérapeutique, afin d’identifier les enjeux développementaux inachevés (attachement, estime de soi, sexualité) et d’éclairer ainsi le sens de leurs traumas. Des exemples cliniques viennent illustrer ce processus d’attention mutuelle et de coconstruction entre psychothérapeute et patient.
Si l’on constate souvent une comorbidité entre addictions et pathologies mentales, on peut aussi observer chez certains de ces patients un déficit des capacités de mentalisation. La psychothérapie axée sur la mentalisation pourrait alors être un adjuvent thérapeutique efficace dans les cas de toxicomanies résiduelles. L’auteur présente ici les aspects théoriques et techniques convoqués dans un contexte particulier de consommation d’alcool.
Les adolescents ayant commis un délit peuvent être condamnés à des mesures de réparation pénale proposées en alternative à des poursuites ou en tant qu’exécution d’une peine. Mais ce travail ne pousse pas forcément à s’interroger sur le sens de la conduite délictuelle. Pour favoriser cette réflexion, des outils tels que le photolangage et le « qu’en dit-on » peuvent être utilisés par les psychologues et les éducateurs comme outil de médiation pour mobiliser les processus de mentalisation et de symbolisation.