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Omniprésentes dans les activités professionnelles, les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont en progression constante et leurs usages se développent. Comprendre ces usages devient un enjeu primordial pour analyser leur impact tant du point de vue du fonctionnement psychique des travailleurs que de celui de la perception de la pression temporelle en environnement professionnel.
Le développement des technologies émergentes de plus en plus manifeste dans les environnements professionnels conduit à s’interroger sur la place et la fonction que ces technologies occupent au sein des organisations de travail. La réflexion des auteurs évoque également le rôle que doit jouer la psychologie du travail et des organisations (PTO) dans ces transitions sociotechniques majeures.
Depuis quelque temps, et notamment depuis le confinement, les équipes de la protection judiciaire de la jeunesse observent une recrudescence de cas mettant en cause des adolescents non encore pubères pour des faits d’origine sexuelle. Si ces passages à l’acte, isolés ou répétés, interrogent, la plupart s’inscrivent dans un contexte d’accès précoce à des contenus pornographiques. L’auteur propose un éclairage à travers les histoires de Nicolas, Maxime et Lorenzo.
Depuis quelques années, les plateformes de prise de rendez-vous en ligne se sont considérablement développées. Ces nouveaux outils technologiques ont ainsi permis la création d’un espace où de nombreuses informations peuvent transiter avant même la rencontre, donnant ainsi parfois lieu à l’expression de mouvements psychiques, voire à des actes manqués. C’est donc un champ en friche qui s’ouvre devant l’interprétable du matériau issu du virtuel. Mais quel sera l’impact de cette nouvelle modalité de prise de contact avant même la rencontre psychothérapeutique ?
La relation subjective que nous entretenons avec les technologies est semblable à celle que nous avons dans notre propre Moi. C’est une relation en et au double, que l’auteur introduit à travers les concepts d’« auto-empathie réflexive » ou encore d’« auto-empathie réflexive médiatisée », de sujet virtuel et de sujet augmenté. Mais cette duplicité du Moi peut faire défaut dans certaines organisations psychopathologiques. Un travail clinique avec les matières numériques peut être une piste pour tenter de la construire ou de la restaurer.
Accueillir un enfant pour un examen psychologique, c’est aussi être attentif à tous les paramètres qui entourent sa venue. Par qui est-il accompagné ? L’adulte souhaite-t-il la présence de l’enfant lors du recueil d’informations ? L’enfant exprime-t-il la volonté d’y assister ou comment s’occupe-t-il pour patienter en salle d’attente ? C’est dans cet entre-deux que s’observent souvent des détails qui auront du sens pour le suivi… Claire Meljac nous livre ici une observation sur l’utilisation du téléphone portable des mamans par leurs enfants.
L’essor des technologies et de la robotique interroge, chaque jour, la clinique. Selon Frédéric Tordo, l’objet numérique s’apparente à un dispositif analytique susceptible de fournir au thérapeute de nouveaux espaces de traitement. Il offre au sujet un double virtuel, voire le moyen de virtualiser les processus psychiques.
Phineas Taylor Barnum (1810-1891), entrepreneur de spectacle américain, connu pour son cirque ambulant et l’exhibition de personnages animaux (Jumbo) et humains (nains et géants), mais aussi député du Connecticut, a fait sa fortune comme bonimenteur, faisant croire aux gens qu’ils allaient gagner le gros lot de la loterie.