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Auparavant, il semblait simple de se fier à ses sens. Ce que l’on voyait, entendait, sentait, goûtait, touchait, donnait le sentiment d’une connaissance certaine des réalités proches.
Je ne sais pas bien quoi penser de ces personnages geeks ou nerds qui peuplent les séries et les films actuellement, comme The Big Bang Theory, l’un des exemples le plus connu avec la série anglaise IT Crowd. La révolution numérique, bien sûr, ce monde infini de possibilités qui apparaît devant nous, apporte avec elle ceux qui la font avancer, d’autres types de héros chez qui la ruse et l’intelligence semblent s’exprimer, séparées du corps. Il y a aussi un regard nuancé sur les émotions et l’esprit. L’hypertrophie du cerveau et la maladresse des sentiments, mais aussi le mélange parfois heureux entre fantaisie et informatique, deux propriétés qui définissent le geek, justement, quelque part entre IMac et Star Wars.