L’avenir professionnel des jeunes en jeu : médiatiser l’insertion en mission locale

Le Journal des psychologues n°251

Dossier : journal des psychologues n°251

Extrait du dossier : Le psychisme de l'enfant : neurosciences et psychanalyse
Date de parution : Octobre 2007
Rubrique dans le JDP : Pratiques professionnelles > Travail
Nombre de mots : 3400

Présentation

Les missions locales aujourd’hui tentent de réduire le poids des vicissitudes du marché de l’emploi et les reproches inavoués qui pèsent sur une jeunesse vulnérable, les défis de qualification, de projet professionnel, d’autonomie individuelle, pouvant être des obstacles à leur insertion. Un dispositif, tel un atelier jeu, peut servir à médiatiser l’insertion des jeunes par la création de « sas » psychologiques permettant aux personnes, en difficulté de construction d’avenir professionnel, d’élaborer cette problématique et de se préparer à relever ces défis.

Détail de l'article

La mission locale et le concept du projet professionnel

La mission locale intercommunale est une association couvrant les villes de Sevran, Tremblay-en-France et Villepinte. Elle œuvre dans le champ de l’insertion sociale et professionnelle pour les jeunes âgés de seize à vingt-cinq ans et sortis du système scolaire. Les jeunes sont reçus en entretien individuel par un conseiller, leur référent dans la structure qui les accompagne dans l’élaboration de leur parcours d’insertion. Il s’agit alors pour le conseiller de repérer, avec le jeune, les « freins » à son insertion professionnelle et de lui proposer un accompagnement lui permettant de les lever. Ces entraves peuvent être d’ordre social, en lien avec l’absence de qualification, d’expérience professionnelle, etc. Depuis maintenant vingt-cinq ans, les missions locales ont construit la spécificité de leur intervention auprès des jeunes par une approche globale, tenant compte de l’ensemble de leurs difficultés. L’expérience montre la richesse de cette approche dans le domaine de l’insertion.
Le concept de « projet professionnel », aussi abstrait soit-il dans le parcours de certains jeunes, devient le fil rouge du suivi individuel de chaque jeune. En les accompagnant dans la construction de leur avenir, dans une perspective de projet de vie, se perçoit l’objectif final de la mission locale : le projet professionnel. En effet, pour positionner un jeune sur une prestation de formation ou s’investir dans une recherche d’emploi, il faut impérativement que le jeune ait « validé » un projet professionnel. Autrement dit, il est nécessaire non seulement qu’il sache quel métier il souhaite exercer, mais qu’il connaisse également les conditions de travail, les compétences requises et qu’il puisse exprimer sa motivation.

 

Réalité du marché de l’emploi et ressources personnelles des jeunes

La réalité du marché de l’emploi et des métiers auxquels les jeunes peuvent accéder avec peu de qualification peuvent se résumer à manutentionnaire, hôtesse de caisse, agent d’entretien, etc. Or, écrire une lettre de motivation originale qui séduise un employeur relève d’un défi pour certains jeunes qui doivent exprimer un attrait pour des tâches répétitives et parfois ingrates. Pour parvenir à cette étape de la justification de son projet, le jeune passe d’abord par l’étape du choix de son projet professionnel, qui reste un moment très important dans son parcours. Nous remarquons, chez beaucoup de jeunes que nous recevons à la mission locale, la récurrence des mêmes projets et la stéréotypie de leurs demandes, peu élaborées, peu investies. C’est le cas, par exemple, du souhait de « travailler sur la zone aéroportuaire », zone proche des villes que nous couvrons. En effet, il ne s’agit pas à proprement parler d’un projet professionnel, puisqu’une multitude de métiers différents sont possibles (restauration, nettoyage, agent de sûreté, d’escale, etc.), mais cette demande revient de façon très régulière, voire insistante. Expliciter et élargir le champ des choix professionnels est alors une tâche ardue, dans la mesure où beaucoup de jeunes sortent de l’école avec une grande méconnaissance du marché du travail et de la diversité des emplois.
Nous savons que ces connaissances dépendent très largement du milieu social dans lequel le jeune baigne ainsi que de l’ouverture de la famille sur le monde social. Sociologiquement parlant, il est évident qu’une famille défavorisée ne possède pas les mêmes ressources pour faire découvrir le monde à ses enfants qu’une famille aisée, même si des facteurs psychiques interviennent également.

 

L’approche psychologique du projet professionnel

L’orientation professionnelle est concomitante avec le « passage » de l’adolescence à l’âge adulte. Nous considérons que l’insertion professionnelle du jeune représente la fin de l’adolescence et que le travail va marquer son indépendance économique vis-à-vis de sa famille et, petit à petit, son autonomie individuelle. Le travail professionnel va constituer pour l’adolescent la rencontre de la réalité dans laquelle il doit s’investir et mettre en jeu ses potentialités par des actes (Ochonisky, 1985). Ainsi se réactualisent les craintes et les espoirs d’enfant dans un nouveau statut en négociation.
La confrontation avec la réalité sera plus ou moins bien vécue, selon les ressources d’ordre social évoquées plus haut, mais également d’ordre psychique. L’estime de soi est primordiale et chaque jeune dans sa singularité développe un rapport au réel qui lui est propre. La période du choix professionnel réactive de surcroît la question de la séparation et les angoisses qu’elle suscite chez beaucoup de jeunes, d’où l’importance de la dimension familiale qu’il convient d’investir dans l’accompagnement du jeune.
Ainsi, tous ces choix stéréotypés de projets professionnels peuvent être analysés à plusieurs niveaux. Tout d’abord, nous pouvons faire l’hypothèse que la méconnaissance du marché de l’emploi est liée, entre autres, au fait que la famille et l’entourage sont faiblement porteurs de transmission de savoir quant aux possibilités de l’emploi. En effet, un grand nombre de familles de jeunes que nous suivons sont migrantes (à la génération des parents et de plus en plus des grands-parents).
Pour les familles migrantes par exemple, la transmission intergénérationnelle est mise à mal par les difficultés migratoires des parents et affecte le développement de leurs enfants qui doivent évoluer professionnellement en France. La dissonance potentielle entre le monde du dehors (l’école, les institutions, les implicites culturels d’ici) et le monde du dedans (la maison, les parents et l’univers culturel qui les habite) exacerbe la vulnérabilité des jeunes pendant la période de l’adolescence et, plus particulièrement, les problèmes de filiation. S’inscrire dans un projet de vie demande alors le développement de nouveaux liens et des stratégies de métissage pour éviter le clivage entre les deux mondes d’appartenance (Moro, 1998). Parallèlement à ce contexte intrapsychique et familial, il y a la réalité sociale qui voit certains métiers « en tension » pour lesquels les employeurs ne parviennent pas à pourvoir les postes (bâtiment, métiers de bouche, etc.). Les jeunes ont parfois des représentations négatives de ces métiers dévalorisés socialement et peuvent rappeler, à certains d’entre eux, les parcours migratoires difficiles des parents venus occuper ces postes, parfois pour reconstruire la France d’après-guerre, avec tout le contexte d’humiliation que cela suscite. En effet, combien de pères ou de grands-pères ont usé leur santé dans les métiers du bâtiment en se sentant en même temps rejetés par une partie de la société. Enfin, certains jeunes sont dans une errance professionnelle et ne parviennent pas à se fixer sur une idée de métier ou dans un parcours d’insertion stable. Ils ont parfois entamé plusieurs formations dans des domaines différents sans aller jusqu’au bout.

 

La part de l’institution

Pour comprendre l’explicitation par les jeunes de leur projet professionnel à la mission locale, il nous semble important d’interroger le rôle joué par l’institution et son fonctionnement. En effet, nous pensons que la mission locale induit, d’une certaine manière, un prototype du projet professionnel chez des jeunes. D’abord, la mission locale joue le rôle de retranscription de la réalité sociale en imposant ses règles. Il arrive, par exemple, qu’un projet exprimé par un jeune soit estimé irréalisable. Il est alors proposé de réélaborer le projet, en fonction des connaissances du professionnel, de la réalité sociale et de la perception que l’on se fait des possibilités du jeune. De plus, une étude précédente (Piault, 2006) s’appuyant sur les travaux de l’impuissance acquise et du jugement social (Seligman, 1975, Ric, 1994) nous montrait que le jeune arrivant à la mission locale est dans un état de « non-contrôle cognitif » de la situation. C’est-à-dire qu’il ne connaît ni le lieu, ni le fonctionnement, ni encore moins les personnes présentes et leurs implicites comportementaux, en particulier lors du premier entretien avec le conseiller. Les difficultés sociales de ces jeunes les installent dans un vécu passif vis-à-vis de l’extérieur, ce qui augmente le non-contrôle vécu dans l’institution. Nous faisions l’hypothèse que les jeunes utilisent des stéréotypes et des catégories pour se présenter (et présenter leur projet professionnel) et saisir le rôle et la fonction du professionnel en répondant à ses attentes. Ainsi, nous pensons que la notion de « projet » pourrait être complexifiée en tenant compte de deux facteurs supplémentaires :
• L’histoire familiale des jeunes et notamment l’histoire migratoire. Cet aspect du projet professionnel n’est, à notre connaissance, jamais abordé au sein des missions locales, car il est toujours travaillé sous un angle individuel, au point que, pour certains jeunes, nous buttons systématiquement sur cette question, car le parcours professionnel du jeune peut se construire en dehors des aspirations familiales, mais sans que cela ne soit élaboré. Dès lors, l’emprise familiale maintient un étau qui ne favorise pas le processus de séparation/individuation nécessaire au jeune pour qu’il soit autorisé (ou qu’il choisisse délibérément la séparation conflictuelle) à s’inscrire dans la société.
• Le projet institutionnel qui induit (ou qui modèle) d’une certaine manière le projet du jeune, notamment du fait de l’impuissance acquise vécue par le jeune en situation d’entretien à la mission locale.

 

L’atelier jeu, échanges et enjeux

Pour commencer à travailler cette question avec les jeunes, nous avons élaboré un atelier baptisé « Échanges », qui se déroule sur une journée et qui a pour objectifs de :
• travailler sur les représentations du travail chez les jeunes et les inscrire dans un contexte mondial et d’échanges internationaux,
• travailler sur les représentations chez les jeunes dont les parents viennent d’ailleurs, du parcours migratoire de leurs parents et de leur vie professionnelle en France,
• établir des liens entre les cultures et les générations.
Aussi, nous avons organisé l’atelier en deux temps : la matinée est consacrée à jouer et l’après-midi à échanger avec des professionnels migrants ayant exercé dans leurs pays et en France, et pouvant témoigner de leurs parcours migratoires. Nous proposons un jeu qui consiste à construire des cubes en carton et s’appuie sur la notion de commerce équitable et des échanges internationaux. Les jeunes sont répartis par équipe de deux à quatre autour de quatre tables représentant des pays (l’Allemagne, le Japon, le Rwanda et le Pérou). L’animateur du jeu propose comme consigne de construire des cubes en carton de 5 cm de côté. Chaque table dispose de matériel différent : cartons, ciseaux, scotch, règles, crayons…, représentant respectivement la matière première, la technologie, les outils.... Ainsi, le matériel diffère sur chaque table en fonction du pays qu’elle représente et ses richesses. Deux ou trois personnes (conseillers…) jouent le rôle d’observateurs du Bureau international du travail.
Au bout d’une heure, l’animateur interrompt le jeu et entame une discussion en s’appuyant sur les résultats réalisés (nombre de cartons construits par table, qualité de la fabrication, matériel présent sur les tables, gaspillage de la matière première…). Les observations effectuées sur les échanges entre les tables (échanges de matériel, présence ou pas de négociations…) d’une part, et entre les membres d’une même équipe (organisation du travail, construction individuelle des cubes…), d’autre part. L’animateur du jeu et les observateurs proposent des liens entre leurs observations et les échanges mondiaux. C’est également l’occasion d’aborder l’organisation du travail en équipe et les positionnements de chacun : tel jeune aura eu une position de meneur dans son équipe, tel autre aura formé les autres à la construction des cubes, etc.
Trois ateliers ont été menés, et nous avons remarqué qu’à chaque fois que la consigne du jeu est présentée aux jeunes, ces derniers restent quelques instants perplexes et déroutés. Ce n’est qu’au moment du débat que les enjeux de l’atelier prennent du sens. La mise en place d’un jeu dans un atelier mené au sein d’une mission locale est un support inhabituel mais intéressant dans un cadre d’insertion.

 

Le jeu et la notion d’espace potentiel

Les travaux de Winnicott (1986) nous permettent de penser la pertinence du jeu comme un outil dans une structure d’insertion des jeunes. En effet, Winnicott développe l’idée selon laquelle l’enfant qui joue habite une aire qui « n’est pas la réalité psychique interne », mais qui se situe en dehors de l’individu sans appartenir non plus au monde extérieur. Il s’agit donc d’une aire intermédiaire, transitionnelle. Il souligne que jouer est une expérience créative et qu’en jouant, et peut-être seulement quand il joue, « l’enfant est libre de se montrer créatif et d’utiliser sa personnalité tout entière ». Nous pouvons donc émettre l’hypothèse que le jeu permet la création d’une « aire transitionnelle » entre les jeunes et l’institution, réduisant le sentiment d’impuissance acquise en établissant des liens entre les projets des jeunes et le projet de l’institution. Même si nous n’avons pas, à ce jour, suffisamment de recul, nous pensons que le jeu favorise une pensée moins stéréotypée chez les jeunes ou, tout au moins, initie un autre processus de pensée.
De plus, cette expérience de vie intense qu’est le jeu permet aux jeunes de se réinstaller, ne serait-ce qu’un instant, dans une position active (à condition que le jeu fonctionne) qui démarre le processus que nous recherchons dans le reste de l’atelier et dans notre travail en général à la mission locale. Si l’atelier surprend les jeunes, c’est justement parce que l’on s’écarte de la notion de travail, telle qu’elle est souvent attendue, et que l’on permet un retour au jeu, comme un retour au rêve, qui, selon nous, invite les jeunes à retrouver un investissement vers le choix d’un projet professionnel. Cela consistant en une préparation psychique qui nous semble utile pour profiter du contenu des échanges et de l’élaboration de l’après-midi. Le jeu déclenche ainsi un potentiel de pensée qui va s’exprimer par la suite.
Grâce au jeu, nous créons une dynamique de groupe dont nous avons besoin non seulement pour faire fonctionner l’atelier, mais, surtout, pour permettre et valoriser en même temps l’expression de soi. Ainsi, certains jeunes vivent un moment créatif et convivial, peu habituel dans un cadre professionnel, fait d’échanges, de rires et de réussites. Ce moment de convivialité dédramatise la situation sociale difficile et fait passer un cap dans la relation entre les professionnels présents et les jeunes. Le groupe de pairs fait sortir de la relation duelle entre le conseiller et le jeune qui apparaît parfois infructueuse, notamment lorsque l’estime de soi de ce dernier est faible et favorise la soumission, ou bien lorsque, pour certains migrants, les entretiens individuels sont sources d’angoisse et d’arbitraire (Nathan, 2001). Le groupe permettra, enfin, de construire un « être ensemble », valorisant chacun dans son élaboration collective.

 

Les échanges interculturels et intergénérationnels

La dynamique de groupe créée par le jeu favorise, dans un second temps, les échanges avec des professionnels d’origines culturelles diverses, pouvant témoigner de leurs parcours migratoire et professionnel. Jean-Patrick, français, a travaillé dans le bâtiment aux Antilles ; Ayokou, sage-femme et psychologue ; Ewé du Togo a travaillé au Bénin et en France ; Françoise, Mounoukutuba du Congo, a travaillé au pays puis en France comme chargée d’accueil… Nous avons assisté à des rencontres intergénérationnelles émouvantes, favorisant de façon indirecte la revalorisation du parcours migratoire et professionnel des parents.
En effet, pour ces jeunes ayant des histoires familiales et des parcours sociaux difficiles, échanger sur leurs difficultés permet d’étendre les champs des possibles et de rompre avec la solitude. Dans leurs réflexions sur leurs projets, entendre le parcours de personnes expérimentées ayant eu les ressources de s’adapter au fil de leurs migrations montre la voie à ces jeunes. Car il ne leur vient pas souvent à l’idée que ces expériences au pays puissent servir ici. Nous pensons au contraire qu’elles sont utiles et riches. Ce chemin apparaît dans toute sa sincérité et sa complexité à travers le récit de ces personnes, il vient proposer une source d’identification parfois défaillante.

 

L’atelier jeu : une expérience à poursuivre

Dans notre expérience à la mission locale, l’atelier jeu permet aux jeunes d’exprimer un ressenti négatif et un vécu douloureux dans un cadre groupal suffisamment contenant, expression qui porte sur un travail de valorisation de l’estime de soi qu’il s’agit de poursuivre dans d’autres cadres adaptés. En proposant dans la même journée un espace d’échanges, les liens peuvent se tisser et permettent la création d’un chemin menant à l’insertion professionnelle et, par conséquent, à l’insertion dans la vie sociale.
Comme le disait J. Tullet (2005) sur l’avenir des missions locales, nous voudrions conclure sur la complémentarité et la créativité et les perspectives ouvertes par cet atelier qui définit une place et un rôle à chaque participant, en laissant à chaque équipe la possibilité de développer un « être ensemble » garantissant non seulement le jeu, mais cette fonction de « travailler ensemble », chacun respecté dans sa spécificité professionnelle, personnelle, culturelle, etc. Cela suggère que chaque contexte institutionnel, selon le public qu’il reçoit, peut créer son espace de jeu susceptible de donner du sens pour les missions imparties et ouvrir le champ des possibles pour les jeunes en construction d’un avenir professionnel et à la recherche d’établissement des liens sociaux. ■

 

Bibliographie

Moro M.-R., 2001, Psychothérapie transculturelle de l’enfant et de l’adolescent, Dunod, Paris, 1998.
Nathan T., 1986, La Folie des autres : Traité d’ethnopsychiatrie clinique,Dunod, Paris.
Ochonisky J., 1985, « L’adolescent, entre la formation et l’emploi », in S. Lebovici, R. Diatkine, M. Soulé (1999), Nouveau Traité de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, vol. 4, PUF, pp. 2877–2902, Paris.
Piault T., 2006, « Le Premier Entretien en mission locale : enjeux de l’accueil des enfants de migrants », mémoire du du de psychiatrie transculturelle, université de Paris-XIII.
Ric F., 1994, « Effets sur le jugement social de l’exposition à des situations incontrôlables », thèse de doctorat, université de Paris-X, Nanterre.
Seligman M. E. P., 1975, Helplessness : On Depression, Development, and Death, Freeman, San Francisco.
Tullet J., 2005, Une place pour chaque jeune : le pari des missions locales, Cherche-Midi, Paris.
Winnicott D. W., 1971, Jeu et réalité, Gallimard, 2002, Paris.

 

Pour citer cet article

de La Noë Quitterie, Piault Thomas  ‘‘L’avenir professionnel des jeunes en jeu : médiatiser l’insertion en mission locale‘‘
URL de cet article : https://www.jdpsychologues.fr/article/l-avenir-professionnel-des-jeunes-en-jeu-mediatiser-l-insertion-en-mission-locale

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