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C’est dans l’air du temps. Les organisations doivent s’occuper du bien-être de leurs salariés, et cela, au moment même où les pressions pour la performance sur les individus n’ont jamais été aussi intenses. Stress, harcèlement moral, violences, font partie du quotidien et alimentent le sentiment de maltraitance. Si ces phénomènes existent depuis longtemps, peut-être à un niveau moindre, le fait nouveau est leur prise en compte, tant sur un plan juridique que psychologique. Pouvoir en parler est un premier pas, souvent libérateur, même si cela augmente parfois l’acuité du ressenti et risque de multiplier le rôle de victime. Mais le dire suppose le dénoncer, et c’est un acte difficile à réaliser, qui accentue l’impression négative, surtout quand le mal est déjà fait. Mieux vaudrait l’anticiper pour l’éviter.
C’est un fait. Le travail reste dans nos sociétés une préoccupation majeure et centrale. Mais il est vu différemment selon les gens. On peut, comme pour d’autres études en psychologie, proposer des catégories selon les individus en créant des types dominants. Le principe de la marguerite, suivant les questionnaires à choix multiples, permet de repérer les tendances et de réaliser une typologie qui pourra toujours être validée ensuite. Essayons de balayer le champ.
À travers les quelques illustrations cliniques présentées ici qui témoignent des conflits de valeurs qui peuvent entraver l’épanouissement professionnel et personnel, l’on mesure combien il est important de trouver un sens à son travail pour pouvoir en supporter les contraintes. Mais comment y parvenir ? Des équipes de chercheurs on mis au point des outils permettant au sujet de mieux identifier et hiérarchiser ses valeurs professionnelles et personnelles. Présentation.
Les femmes ont su s’introduire dans des domaines ou des professions jusqu’alors réservés aux hommes et, si des lois, notamment pour l’égalité homme-femme ou l’ivg, ont été votées, pour autant, stéréotypes et sexisme demeurent, y compris dans le champ politique. De même, le féminisme reste, encore actuellement, un engagement qui se paye cher dans certains pays.Aussi qu’est-ce qu’être féministe aujourd’hui, alors qu’au-delà des combats subsistent également des droits à préserver ?
Située dans l’interstice entre la psychologie et le monde du travail, la psychologie positive appliquée au travail vise le développement du bien-être au travail, en permettant au salarié, au management ou aux équipes, d’identifier et de développer leurs ressources intérieures, afin de pouvoir notamment dépasser des situations déstabilisantes ou de stress. Présentation des concepts phares qui guident cette discipline.
Située dans l’interstice entre la psychologie et le monde du travail, la psychologie positive appliquée au travail vise le développement du bien-être au travail, en permettant au salarié, au management ou aux équipes, d’identifier et de développer leurs ressources intérieures, afin de pouvoir notamment dépasser des situations déstabilisantes ou de stress. Présentation des concepts phares qui guident cette discipline.
Dans un environnement de chômage massif et d’entreprises sous tension, être chômeur, c’est de plus en plus fréquemment être un ex‑salarié en souffrance au travail. Analyser cette situation, comprendre la dynamique psychique du chômage, la demande, mais aussi accueillir la souffrance du sujet sans travail et le négatif qu’elle porte… voilà les enjeux que les psychologues du travail exerçant au sein de Pôle emploi ont plus que jamais à relever.
Deux grandes tendances s’opposent sur l’importance de la culture d’organisation. L’une, centrée sur l’économique, qu’elle soit de référence libérale ou marxiste, considère qu’il faut trouver la meilleure organisation possible en rationalisant au maximum et, par conséquent, l’appliquer partout, quel que soit le lieu. Le poids de la culture est alors négligeable. L’autre, attentive aux différences culturelles, conduit à adapter les modes d’organisation selon les cultures, afin de respecter les us et coutumes locaux des salariés. Le rôle symbolique de la culture est un facteur important du climat, de la bonne marche et de la réussite de l’entreprise, soutenu par la reconnaissance des différences et de leur complémentarité.
Les méthodes en psychologie du travail proposent des pratiques et règles de métier au service de l’activité professionnelle et de la santé au travail. Les outils privilégiés sont ceux des subjectivités rencontrées sur les terrains d’intervention. Cet article présente quatre dispositifs de praticiens convergeant vers les mêmes finalités : contribuer à remettre en discussion le travail des professionnels, rendre visibles les soubassements de leur souffrance au travail et développer leur métier de façon satisfaisante à l’égard des contraintes professionnelles et institutionnelles.
