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Hélène Garner-Moyer étudie, dans le cadre d’une vaste enquête, l’influence de l’apparence physique sur les interactions sociales en général, et plus particulièrement dans le cadre des opérations de sélection et de recrutement dans les entreprises. Elle montre aussi comment celles-ci instrumentalisent cette variable à des fins de promotion de leurs produits ou de leur image. Cette étude s’attache essentiellement à élucider les mécanismes psychosociaux par lesquels opère cette influence.
Le bilan de compétences est aujourd’hui un véritable outil de gestion des compétences. Élément d’un droit nouveau (1991), il donne aux actifs, salariés ou non, la possibilité de faire le point, librement et confidentiellement, sur leurs acquis et leurs attentes dans la finalité d’élaborer un projet professionnel. Mais de quelle manière un suivi de bilan de compétences aide-t-il à discriminer les éléments moteurs à la mise en œuvre des projets ?
Les missions locales aujourd’hui tentent de réduire le poids des vicissitudes du marché de l’emploi et les reproches inavoués qui pèsent sur une jeunesse vulnérable, les défis de qualification, de projet professionnel, d’autonomie individuelle, pouvant être des obstacles à leur insertion. Un dispositif, tel un atelier jeu, peut servir à médiatiser l’insertion des jeunes par la création de « sas » psychologiques permettant aux personnes, en difficulté de construction d’avenir professionnel, d’élaborer cette problématique et de se préparer à relever ces défis.
Conjuguer compétences managériales et cultures internationales est une problématique incontournable avec la mondialisation.
Dans l’environnement multiculturel, le manager global doit adopter un double regard où la connaissance de l’autre, « l’étranger », sert de levier à bien des solutions. Accepter cette nouvelle donne, y contribuer, c’est aussi ouvrir notre pays à d’autres empreintes.
Cet ouvrage présente des textes classiques de la clinique du travail : du métier de roulant à la SNCF jusqu’à celui des «bonnes à tout faire», des téléphonistes aux mécanographes jusqu’à l’analyse de l’existence «empoisonnée» d’une ouvrière d’usine, Mme L, il s’agit d’une véritable introduction à une nouvelle clinique. Yves Clot qui a supervisé cette édition montre pourquoi la contribution de Le Guillant reste une force de rappel pour tous ceux qui s’intéressent aux rapports entre psychologie et travail.
Changer notre regard sur le travail et sur le vieillissement au travail, tant au niveau des travailleurs, des pratiques managériales
que des politiques de gestion des ressources humaines, devient une priorité économique. Améliorer notre connaissance des seniors et envisager leur vie professionnelle en perspective n’est pas une utopie.
Pour le non-initié, cette plongée en apnée dans le monde « mystérieux » de la finance nous informe, à partir d’une lecture clinique, de la réalité psychique des acteurs aux prises avec les tentations de l’impossible.
Si le monde du travail se veut un générateur de lien social, un lieu de construction identitaire ou encore de sublimation, qu’en est-il pour tous ceux qui en sont privés ? Une alternative par la parole et l’écoute – non dans une démarche thérapeutique mais pour permettre au sujet d’être reconnu dans son mal-être – peut s’avérer un réel tremplin à l’action et faire de cette épreuve une expérience rude mais riche.
La question de l’évaluation des intérêts professionnels est une question ancienne qui, de ce fait, apparaît bien documentée à ce jour. Ce travail se propose d’envisager cette pratique sous l’angle du concept d’innovation et de montrer son utilité au regard des règles déontologiques qui régissent notre profession.