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Dans le cadre d’une mission bénévole de trois mois au Sri Lanka, l’auteure partage son expérience au sein de deux institutions psychiatriques du pays, révélant leurs structures, leur fonctionnement, les difficultés rencontrées à inscrire la psychologie et la psychiatrie dans une démarche de soin holistique. L’article soulève également les problèmes posés par la stigmatisation et les croyances autour des troubles mentaux, parfois renforcés par les pratiques gouvernementales.
Ces dernières années, la notion de bien-être mental s’est imposée dans de nombreux secteurs de la société. Cette « psychologisation » favorise paradoxalement une disparition du sujet, tout en soumettant le psychologue à deux mouvements contraires : une dissolution et une démultiplication de sa profession. Face à ces mutations sociétales, quelles « fonctions politiques » requiert-on du psychologue ?
En cette période électorale, quelle place est accordée aux questions de santé mentale dans le discours des politiques ? Ce sont ici les programmes des onze candidats qui sont passés au crible1. Par quel prisme le sujet est-il abordé ? Quels plans d’action les candidats ont-ils prévus ? Le constat est éloquent…
Les promesses apportées par l’utilisation des données probantes intéressent beaucoup les institutions de santé publique. Mais cette volonté n’est pas sans conséquences pour les usagers et les professionnels. Décryptage à partir de l’exemple d’un programme de formation aux bonnes pratiques parentales.
Alors qu’il y a quelques années nous mettions en lumière dans l’un de nos dossiers (1), ces services d’écoute téléphonique destinés à accueillir la souffrance de ces enfants ou adolescents qui ne trouvaient d’autres lieux pour la déposer, c’est aujourd’hui la fermeture d’une de ces antennes qui nous est annoncée, et, avec cette fermeture, la crainte que cette souffrance ou cette violence non verbalisées ne trouvent d’autre échappatoire que le passage à l’acte.