Déontologie

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Même si les réflexions autour du Code de déontologie ont pris une certaine densité ces dernières années, l’ensemble des psychologues ne se reconnaît pas nécessairement dans celui‑ci. Le Code détermine un certain nombre de règles qui s’apparentent parfois au bon sens. Et les questions soulevées par la pratique du psychologue sont tout aussi essentielles telles que la responsabilité, le discernement, l’adaptabilité aux évolutions de la société. Claire Silvestre‑Toussaint nous livre ici ses réflexions fondées sur son expérience à la présidence de la CNCDP et de chargée de cours à l’université d’Aix‑Marseille.

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1985 a vu promulguer la loi sur le titre de psychologue. Si les débats d’alors sur la réglementation de la profession ont été mis de côté au profit de l’aboutissement d’une loi sur le titre unique, ils rejaillissent aujourd’hui plus que jamais pour permettre au Code de déontologie des psychologues, socle identitaire de la profession, de trouver le cadre juridique qui lui corresponde. Depuis plus de trente ans, Patrick Cohen observe et accompagne toutes les étapes de structuration de la profession, et c’est de sa place de psychologue, mais aussi d’enseignant en déontologie et d’ancien président de la CNCDP qu’il nous éclaire sur la question.

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La profession de psychologue, dont l’un des objectifs est de mettre du sens sur les conduites, comportements et ressentis, se prévaut d’un exercice respectueux de sa déontologie. Mais quand les psychologues parlent de déontologie, de quoi et de laquelle parlent-ils ? Pourquoi cet attachement à ce qui est censé servir d’étayage pour l’élaboration de nos postures professionnelles ?

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Dans une société où l’utilisation et la place de l’écrit évoluent considérablement depuis quelques années, l’écrit professionnel, pour le psychologue, reste néanmoins un outil incontournable dont il faut connaître les enjeux et les limites pour ne pas faillir aux règles déontologiques de notre profession, notamment en matière de confidentialité. Patrick Cohen, ancien président de la CNCDP, revient sur les points qui en font un exercice périlleux et propose quelques préconisations concrètes.

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L’actualisation du code de déontologie du 22 mars 1996 a été signée, en 2012, par trente organisations de psychologues après un long travail de concertation.

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Code de déontologie des psychologues – Actualisation de février 2012

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Le samedi 28 novembre 2015 s’est tenue, dans les locaux de l’École de psychologues praticiens, la journée consacrée aux trente ans du titre que nous avons organisée avec le concours d’un certain nombre de psychologues d’horizons divers, sans parti pris, mais déterminés à échanger sur l’état de la profession aujourd’hui. Vaste programme, certes, mais que nous avons voulu simple et direct dans son organisation et son déroulement. En effet, comme nous l’avions annoncé, nous avons privilégié les interventions de psychologues qui se sont battus et se battent encore pour la profession, mais en dépassant le protocole classique qui consiste à aligner des positions syndicales au détriment des hommes. Cela, à notre avis, a permis à chacun de pouvoir s’exprimer – y compris les représentants des organisations présents dans la salle –, à un niveau égalitaire, en privilégiant le contenu sur la représentation.

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Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’université commence à considérer la psychologie comme une discipline à part entière du côté des sciences humaines, et non plus comme branche de la médecine et de la philosophie. La licence de psychologie est mise en place en 1947 et le métier de psychologue apparaît petit à petit avec la création, en 1950, d’un Syndicat professionnel.

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Les discussions autour de l’idée de la création d’un ordre des psychologues vont et viennent depuis au moins trente ans ; elles étaient déjà incluses dans les débats qui ont précédé la légalisation du titre de psychologue en 1985, mais elles prennent un caractère crucial depuis quelques années.

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Fille de la philosophie et de la médecine, de la psychologie expérimentale et de la psychanalyse, la psychologie clinique française a parfois pu être considérée comme « l’enfant terrible » de la psychologie de par les débats qu’elle a suscités tout au long de son histoire. Cet ouvrage collectif est l’occasion d’en revoir les définitions, le contenu et les frontières. Reprenant les axes qui définissent la discipline et se voulant l’écho des grands mouvements et des débats qui en ont marqué l’histoire, ce livre ce décline en huit sections : fondations, questionnements identitaires et synthèses, théories et modèles, champs d’intervention, méthodes et outils, objets de connaissance, recherche, profession de psychologue. Les textes retenus sont pour la plupart des « classiques » émanant des fondateurs (Lagache, Favez-Boutonnier, Anzieu), de leurs successeurs (Revault d’Allonnes, Rausch de Traubenberg, Shentoub, Debray), jusqu’aux contemporains (Chiland, Guillaumin, Perron, Kaës, Widlocher, Pédinielli, Gori, Chabert, Roussillon, etc.). Des textes plus récents présentent les nouveaux objets de la psychologie clinique, les articles de loi relatifs à la profession de psychologue, la question des psychothérapies, le code de déontologie.

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