Le Journal des psychologues n°263

Penser la violence est nécessaire pour la compréhension du sujet, ainsi que pour la société dans son ensemble qui ne peut faire l’économie de s’interroger sur la spécificité de la violence dans sa relation au corps. Si la violence est de tous les âges et de toutes les sociétés, l’adolescence en est bien le paradigme, comme le dit Philippe Gutton, pour qui la création adolescens, comme toute création humaine, engendre de la violence.

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• Violence et passage à l’acte
• Les préadolescents et les adolescents sans limites et l’institution
• La délinquance des adolescentes : une violence de genre ?
• Violence et adolescence : réflexions écosystémiques
• Dépression, narcissisme et mécanisme de défense chez des adolescents suicidants
• La reconnaissance de la douleur physique de l’autre socialise-t-elle ?

• Pratique sectaire et dérive de psychothérapies. Le phénomène des faux souvenirs
• Identités, représentations sociales et mémoire collective
• La préoccupation paternelle… primaire du père suffisamment bon
• Errances et amarrages
• Les relations des sujets body art avec leur propre corps
• Corps d’enfants et dons d’organes. Polytrauma… corps effractés, corps violentés
• L’accueil familial thérapeutique en question : vers une spécificité des indications
• Connaître et penser, pour quoi faire ? Apports de la théorie de Freud
• Entre les murs, entre les mots. Si l’expression m’était contée